Lydia Lawrence, ambassadrice de la drépanocytose auprès de l’Association Pour l’Information et la Prévention de la Drépanocytose (APIPD).

Lydia Lawrence

Lydia Lawrence est une chanteuse originaire de l’Ile de Saint-Martin. Une tête bien faite sur un corps bien fait. Une des merveilles de la nature, semblable à ces étoiles de la pléiade tant sollicitées par les poètes parce que uniques et fascinantes à la fois.

Investie depuis quelques années dans les actions humanitaires, malgré un emploi du temps surchargé, elle trouve le moyen de défendre la cause, qu’elle a faite sienne, des drépanocytaires tant ignorés par leurs semblables. Lydia a été l’ambassadrice de plusieurs maladies.

Cependant, cette femme au grand cœur dit n’avoir pas encore trouvé sa vraie voie.

Lors d’une fête sportive, Jenny Hippocrate, Présidente de l’Association Pour l’Information et la Prévention de la Drépanocytose, avait été mise à l’honneur pour parler de cette grave  maladie génétique.

Lydia fût bouleversée par les propos de Jenny : « Je savais que je venais de trouver ma voie, celle que j’ai cherché depuis très longtemps, dit-elle. Car Lydia s’est tout de suite proposée d’aider l’association en mettant sa notoriété aux services des malades.

Depuis notre ambassadrice s’est muée en une guerrière de la drépanocytose, elle s’y est investie complètement. Détestant l’injustice et cherchant à combattre l’ignorance qui entoure cette pathologie, elle a la ferme intention de se battre corps et âme jusqu’à ce qu’un remède pérenne et efficace soit trouvé pour lutter contre ce mal pernicieux.

Lydia a des idées qu’elle cherche à faire partager. Des idées toutes simples mais qui peuvent avoir un impact considérable sur les mentalités : parler de la drépanocytose dans les écoles.

Ainsi, elle propose à Taylor FIXY, l’ambassadeur de la drépanocytose de l’accompagner dans ses déplacements et dans ses interventions publics afin qu’à eux deux ils puissent intéresser un maximum de consciences à la cause. Dans sa soif d’apprendre, elle téléphone tous les jours à la présidente. La drépanocytose n’a qu’à bien se tenir, elle a une autre ennemie.

Les malades et les membres de l’APIPD disent un grand merci à cette dame de cœur qui affiche une générosité exemplaire et désintéressée.

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